Journée annuelle de découverte du patrimoine valenciennois 2019
Rassemblement matinal sur la Place verte.
Depuis la salle de réception au niveau du sol du XVIème siècle …
… au niveau des vestiges du XIIIème siècle.
Détail d’un des plafonds daté de 1455-1460 par étude dendrochronologique.
1803 : un foyer de cheminée arrive dans la chambre de l’Infante Isabelle d’Espagne entre un mur de 1455-1460 à droite et un mur de 1524 à gauche.
Au 3ème étage, la charpente d’époque médiévale (1455-1460) côté lumière et sa reconstitution à l’identique au centre et à gauche de l’image.
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Regroupement place d'Anzin.
Les ex-écoles professionnelles d'Anzin et l'école de musique.
Le théâtre d'Anzin, témoin de la richesse de la ville dans les années trente.
Paul Theunissen, Idylle au pays noir.
Fronton de la poste portant des bas-reliefs témoigant de l'activité et de la prospérité d'Anzin autrefois.
Lucien Jonas, peintre né à Anzin. Buste réalisé par le sculpteur Aimé Blaise, également Anzinois.
Ste Barbe protégeant un mineur. Statue sur la façade de l'église Ste Barbe d'Anzin.
Ce qu'il reste d'une fontaine dans la propriété aujourd'hui détruite de Pierre Mathieu, découvreur du charbon à Anzin.
Chevalement miniature fleuri, reconstitué à l'endroit de la fosse St Louis.
Plaque marquant l'emplacement du puits de la fosse St Louis. Zola visita les installations de cette fosse, mais descendit à la Fosse Renard de Denain.
Le Coron des Trente, le plus vieux coron d'Anzin (environ 1840). Zola a visité cette partie d'Anzin.
Ce qu'il reste, après un incendie, de la SOCOMA : Société Coopérative des Mineurs d'Anzin.
Entrée du "Chantier des Mines d'Anzin" (les ateliers d'entretien du matériel).
Maison qui servit au Directeur des Mines dans les années 1950.
Château Dampierre : un "château d'industrie" de la fin du 19ème siècle destiné sans doute au Directeur.
Dans le parc de cette propriété, un cèdre de l'Himalaya, arbre exotique, "signe extérieur" de richesse à l'époque.
Devant les friches Valmont en cours de réhabilitation.
Coron de 120 : une façade en trompe-l'oeil témoignant d'un effort esthétique dans la construction des corons (1867). Zola s'en inspira pour Germinal et son "Coron des 240".
